C'est en Chine qu'il a été inventé, lorsqu'on a un jour mélangé de la farine et du miel pour réaliser un aliment nourrissant, qui pouvait se conserver facilement ; il était vendu dans les foires, au poids.

Fière de son savoir-faire, l'entreprise est attachée aux valeurs des maîtres pains d’épiciers dijonnais : le pâte mère repose trois semaines, avant qu'elle ne soit retravaillée pour donner le produit fini. La farine de sarrazin est achetée auprès de meuniers en Bourgogne et le miel est un mélange toutes fleurs en provenance de France et d'Europe, du Vietnam et d'Argentine.

Les pains d'épices non conformes en terme de poids ou de forme sont reconvertis en chapelure. L'entreprise travaille avec Fondalim, une association qui collecte et centralise les surplus alimentaires pour les redistribuer au Secours Populaire ou les Restaus du Coeur. La salle de pause, au sein de l'entreprise, dispose de pains d'épices pour le personnel, à discrétion.

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Photos © Mulot Petitjean